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Utiliser un vélo plutôt que la voiture : voilà l’exemple d’une résolution souvent partagée, rarement concrétisée. Face à la tentation du moindre effort, des stratégies de contrôle de soi peuvent toutefois nous aider à convertir nos intentions en action. Mais que pèse notre volonté en l’absence d’une piste cyclable ? Entre facteurs individuels et contextuels, en route vers la mobilité active !
Notre volonté : premier maillon de la chaîne ?
Silvio MALTAGLIATI
(Doctorant, UGA, Laboratoire SENS - Sport et ENvironnement Social)
Résister à notre attraction vers le confortable siège des automobiles ne va pas de soi. Des stratégies automatiques de contrôle de soi permettent de résister à cette tentation. Pour doper notre volonté, des techniques d’entraînement ciblant ces stratégies de contrôle de soi sont proposées.
Pour que la volonté ne pédale pas dans le vide
Claudia TERAN-ESCOBAR
(Chercheuse Post-Doctorale, IGE, Univ. Grenoble Alpes, CNRS, IRD, G-INP (Équipe HCMIS))
Mais parler de mobilité sans considérer son contexte, c’est un peu comme descendre le col de Porte sans les freins ! Disposer d’infrastructures adaptées joue un rôle clé dans nos déplacements quotidiens. Les politiques publiques apparaissent ici comme le moteur du changement de nos comportements.
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