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Entre psychologie et apprentissage, la soirée est placée sous le signe des histoires ! Qu’elles soient enfantines ou plus sombres, les scientifiques s’intéressent d’un côté à mieux les faire comprendre, et d’un autre à dissocier le vrai du faux afin d’éclairer les souvenirs des témoins d’affaires criminelles.
Maîtresse, apprends-moi à comprendre une histoire
Isabelle Roux-Baron
(Doctorante)
Sylvie Cèbe
(Maitresse de conférences)
Quand ils entrent à l’école, les enfants n’ont pas tous les mêmes compétences, notamment en ce qui concerne le langage. L’origine sociale et les méthodes d’éducation expliquent en partie ces écarts. Certains enfants parlent déjà très bien, d’autres moins. Or ce “bagage” initial influe sur leurs capacités à apprendre et à comprendre des histoires.
Quelles sont les pratiques d’enseignement qui permettent de pallier ces écarts et comment les appliquer ? C'est la question à laquelle des chercheur·se·ses et enseignant·e·s clermontois ·e·s répondent.
Venez en discuter avec eux
Quelles sont les pratiques d’enseignement qui permettent de pallier ces écarts et comment les appliquer ? C'est la question à laquelle des chercheur·se·ses et enseignant·e·s clermontois ·e·s répondent.
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Affaires criminelles, quand les souvenirs s’emmêlent
Magalie Ginet
(Chercheur)
Plus de 50% des erreurs judiciaires seraient dues à des erreurs de témoignage. En effet, les souvenirs ne sont pas un enregistrement fidèle d’une réalité passée. Ils sont légèrement reconstruits, remaniés, en fonction de notre personnalité, de nos expériences de vie, et ils s’éloignent un peu, parfois beaucoup, de la réalité vécue. Ne pas se souvenir de ce que l’on a mangé il y a trois jours, c’est une chose. Faire une erreur de témoignage dans une affaire criminelle, c’est en une autre! Notre mémoire sous influence… Enquête au coeur de la psychologie du témoignage
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